Une fois presque complètement obstruées ce en quoi on
avait reconnu autrefois des ouvertures, moments où le moindre frôlement
avec des tissus extérieurs fait entendre des cris de bêtes blessées, il
devient nécessaire, afin de prolonger temporairement l’équilibre, de se
nourrir de ses propres pourrissements, pourrissant davantage, différant les moments futurs où il faudra s’en décharger, et s’attendre à recevoir des coups.